Promotion DECOUARD

1966-1969
Rencontre de 2016

du 19 au 21 septembre 2016

En cette année 2016, pour l'organisation de notre rencontre, c'est au tour de Serge et Josiane RENAUD de nous proposer un progamme qui va nous permettre de nous retrouver et de passer quelques moments trés agréables ensemble.
Ce sera également l'occasion de meiux connaître ou découvrir cette belle région de la Charente maritime.
Nous ferons également, pendant ce séjour, de belles rencontres.

C'est ainsi que nous séjournerons du dimanche 18 au vendredi 23 septembre au gite de Montifault (https://gitedemontifaud.fr/) situé tout prêt du domicile de nos GO. Les repas du soir ainsi que les petits déjeuner serons pris au gite.

Voici donc le programme :

Dimanche 18 septembre :   
arrivée dans l'aprés midi chez Serge et Josiane au "Frêne" sur la commune de Saint Crépin non loin de Tonnay-Boutonne.

Lundi 19 septembre : La Rochelle
10 h visite libre du musée maritime de La Rochelle,
12 h 30 Déjeuner au Mistral (restaurant du centre ville,
15 h 30 Croisière commentée avec le tour du fort Boyard avec un passage par l'île d'Aix.


Mardi 20 septembre : Rochefort

9 h 30 : franchissement de la charente grâce à une navette fluviale
10 h visite libre de la maison du transbordeur situé au pied du pont transbordeur,
11 h visite libre du musée des commerces d'autrefoi.
12 h déjeuner dans un restaurant du centre ville de Rochefort : "La Sicilia",
14 h 30 visite guidée de la Corderie Royale
16 h Visite guidée de l'Hermione


Mercredi 21 septembre : Marais Poitevin

Accueil à la maison du Marais Poitevinà Coulon et rencontre avec notre guide
10 h Visite libre de la maison du Marais Poitevin,
12 h 30 Déjeuner au restaurant Venise Verte Evasion : Le Chantilly",
14 h 30 Promenade commentée en plate sur les conches de la Venise verte,
16 h 30 Dégustation à la boutique de la Venise Verte Evasion


Jeudi 22septembre : Brouage et Marennes Oléron

Visite libre de Brouage
12 h 30 Déjeuner dans un restaurant de Marennes : "Le Buccin"
14 h 30 Visite de la cité de l'huitre

Quelques moments de vie au gite

Quelques photos

et deux vidéos

Journée à La Rochelle

Lundi 19 septembre 2016

Le musée maritime
La vie à bord
Embarquement pour l'île d'Aix et le tour du fort Boyard

Rocherfort

Mardi 20 septembre 2016

Le pont transbordeur

Le pont transbordeur du Martrou est un ouvrage d'art métallique permettant de relier les deux rives de la Charente, entre les villes de Rochefort et d'Échillais, sans gêner la navigation des cargos qui desservent les ports de Rochefort et de Tonnay-Charente. C'est le dernier pont transbordeur en fonction en France.
Pour plus de renseignements sur cet ouvrage cliquez sur le bouton

Le musée des commerces d'autrefois

Le Musée des Commerces d'Autrefois est né d'une folle aventure, celle d'un couple de passionés qui, depuis le début des années 80, amassent des milliers d'objets liés au commerce et à l'artisanat. Tout d'abord de petites choses puis du mobilier, afin de remettre progressivement ceux-ci dans leur contexte initial

En 1988, envahis de toute part, ils se sont dit : "Pourquoi ne pas créer un musée et faire partager notre univers aux autres et ainsi reconstituer, grandeur nature, les commerces et ateliers d'artisans de la première moitié du 20ème siécle ?"

A l'annonce de cette idée tout le monde les prend pour des fous.

Ils se mettent alors en quête d'un local et, en 1989, ils acquièrent, en plein centre de Rochefort, un entrepôt de quincaillerie (datant de début 1900) dont l'architecture de style Eiffel était prédisposée pour mettre en valeur une reconstitution de boutiques.

(extrait du site : http://www.museedescommerces.com/)

Visite de la corderie royale
Manufacture royale créée par Louis XIV, la corderie sert à fabriquer les cordages nécessaires aux bateaux à voile de la marine de guerre. Elle est implantée au sein d’un vaste arsenal maritime qui réunit magasins, fonderie, forges, poudrière, formes de radoub pour la réparation des bateaux. C’est le tout premier bâtiment construit dans l’arsenal, dès 1666. Il s’agit d’un prototype, inspiré sans doute à la fois de la corderie de Venise (XIIIe siècle) et des bâtiments de Saardam (près d’Amsterdam). Elle vit son âge d’or au temps de la marine à voile, de 1669 à 1862 environ. Servant autrefois pour la marine de guerre elle est aujourd’hui un bâtiment classé et le plus grand site historique de Rochefort.

En 1661, la flotte de Louis XIV est quasiment inexistante. On ne compte plus qu’une trentaine de navires en mauvais état. Secondé par le ministre Colbert, le roi décide de redonner sa puissance maritime à la France, notamment pour contrer la Navy anglaise. Cette renaissance navale nécessite la création d’un arsenal.

Pourquoi un bâtiment si long ? Parce que la Corderie = une encablure de pierre. Fleuron de l’architecture pré-industrielle, la Corderie procède d’un calcul d’ingénieur. Pour obtenir un fil ou un câble de chanvre d’une encablure (soit presque 200 m), il fallait « commettre » (torsader) les fibres sur 300 m, en raison de la réduction de la longueur du cordage « au tiers » qui résulte du mouvement de torsion. C’est pourquoi le corps de logis principal (hors pavillons aux deux extrémités) mesure 300 m. La Corderie dans son ensemble mesure 374 m de long.

Extrait du site : https://www.corderie-royale.com/

Visite de l'Hermione
Une frégate, témoin d'une grande époque de la construction navale française :
C'est en 1778, dans l'Arsenal de Rochefort sur une cale de construction proche de la Corderie Royale, que L'Hermione était mise en chantier.
Navire de plus de 65 mètres de longueur hors tout, doté d'une voilure de 2200 m2 répartie sur trois mâts, L'Hermione fut construite sur les plans de l'ingénieur Chevillard Aîné.
Elle faisait partie, avec La Courageuse, La Concorde et La Fée, d'une série de quatre frégates mises en chantier à Rochefort.
Appartenant à la catégorie de frégates dites légères, caractérisées par leur vitesse et leur maniabilité, l'Hermione était équipée de 26 canons tirant des boulets de 12 livres, d'où son nom de "frégate de 12".
Longue de 44,20 m, large de plus de 11 m, la frégate nécessita 11 mois de travail pour des centaines de charpentiers, forgerons, perceurs, cloueurs, calfats... bagnards... pour un total de plus de 35 000 journées de travail.
Un navire à jamais lié à la légende de La Fayette
Du premier moment où j'ai entendu prononcer le nom de l'Amérique, je l'ai aimée ; dès l'instant où j'ai su qu'elle combattait pour la liberté, j'ai brûlé du désir de verser mon sang pour elle ; les jours où je pourrai la servir seront comptés par moi, dans tous les temps et dans tous les lieux, parmi les plus heureux de ma vie. La Fayette
Eté 1776, la rupture est consommée entre l'Angleterre et les insurgents, partisans de l'indépendance des colonies anglaises en Amérique du Nord.
En janvier 1779, de retour d'Amérique où il s'était porté volontaire au service de la cause américaine, Gilbert Motier, marquis de La Fayette, gentilhomme français âgé de 21 ans, s'efforce d'obtenir pour elle le soutien officiel de la France.
Il réussit à convaincre le roi Louis XVI et son état-major d'apporter une aide militaire et financière aux troupes du Général Washington.
Le 21 mars 1780, le jeune major général de La Fayette embarque à bord de l'Hermione. Il part combattre aux côtés des insurgés américains qui luttent pour leur indépendance.
Il débarque à Boston après 38 jours de traversée et rejoint le général Washington pour lui annoncer l'arrivée imminente des renforts français.
Dix-huit mois plus tard, les insurgents américains, auxquels s'est joint La Fayette remportent dans la baie de la Chesapeake sur mer, puis à Yorktown sur terre des victoires décisives avec l'appui des troupes françaises conduites par Rochambeau et de Grasse.

(Extrait du site : https://www.hermione.com/)

Le marais poitevin

Mercredi 21 septembre 2016

Le Marais poitevin est une région naturelle de France à cheval entre les départements de Vendée, des Deux-Sèvres et de Charente-Maritime ainsi qu'entre les régions Nouvelle-Aquitaine et Pays de la Loire.
L'ensemble constitué par le marais poitevin et la baie de l'Aiguillon, relique du golfe des Pictons, s'étend sur environ 100 000 hectares : il s'agit de la deuxième plus grande zone humide de France après la Camargue1.
Il constitue le parc naturel régional du Marais poitevin, label retrouvé depuis le 9 juin 2014.
Le 20 mai 2010, les marais mouillés dits « de la Venise verte » ont obtenu en outre le label Grand Site de France2. Certains espaces compris dans le Marais Poitevin sont aussi classés réserve naturelle nationale comme La Baie de l'Aiguillon, Marais communal de Saint-Denis-du-Payré, Casse de la Belle-Henriette, ainsi que des réserves naturelles régionales comme Ferme de Choisy, le Marais de la Vacherie, Marais communal du Poiré-sur-Velluire. 68000 hectares de zones humides et du littoral sont classés Natura 2000 (ZSC).
Aménagé par l’homme dès le xie siècle, le Marais poitevin est composé de trois grands ensembles liés à son fonctionnement hydraulique : le marais maritime, le marais desséché, le marais mouillé. Des milliers de kilomètres de fossés, canaux et rigoles creusés, des millions d’arbres plantés pour fixer les berges, autant de témoignages d’une relation étroite avec l’eau. Ce réseau hydraulique, résultat d’un aménagement qui a évolué au fil des siècles, permet d’atténuer les effets des variations de précipitations saisonnières : inondations en hiver, assèchements en été.
La maison du marais poitevin
Au restaurant
Promenade en plate

Brouage et Marennes Oléron

Jeudi 22 septembre 2016

Contacts

Email:            guy.gimenez@sfr.fr